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Edito – Contenu web gratuit et/ou publicité et/ou abo : trouvons un meilleur modèle économique


Je réponds à un article publié par le team PC INpact, devenu en 2015 Next INpact, intitulé : Gratuité sur internet contre publicité : les éditeurs doivent repenser leurs pratiques me fait réfléchir à nouveau à ce sujet. Un sujet dont chque jour j’ai en-tête consciencieusement ou inconsciemment. C’est un article très pertinent, encore à nouveau, à propos d’un sujet qui nous est cher, en tant que visiteur et éditeur de contenu. Et dont, on a tous, à un moment de l’évolution de notre site, en tant que créateur de son blog, étant rédacteur, donc blogueur, bref, acteur du web, réfléchi ou cherchant ou proposant des solutions tel que afficher de la pub ou faire payer un abonnement à ses visiteurs, ou mettre en place un système de dons, ou encore d’autres alternatives. Mais, on voit que le secteur du web est en crise doit évoluer ! Il y a qu’à voir l’état du web actuel pour s’en convaincre. Les nombreux articles à ces sujets, soit éditoriaux, soit via des spécialistes, ou encore des appel à l’aide, ou aussi des rachat fusion de gros site, font état de l’état actuel du secteur du web.

J’ai déjà pas mal écrit à ce sujet, dans la catégorie édito ici. Je pense à cet article en particulier là : Edito – Trouver un modèle économique respectueux pour chacun, vertueux et productif en rémunération. Je sais que pour mon DM, depuis septembre 2015, le seuil de rentabilité monétaire a été atteint, de quoi payer un nom de domaine, chaque mois. Et c’est pratique, ça en tant que web designer ! J’en ai parler de ça ici : DESIGNMOTEUR, après 3 ans d’existence, est une réussite ! Edito 100% #3615mylife & #GBA2015.

Par contre, je m’interroge chaque jour sur le modèle économique viable, professionnel, et respectueux pour chaque partie : l’annonceur, l’éditeur et le visiteur.

A nous de trouver un meilleur modèle éco efficace

Cher lecteur, comme tu peux le voir sur le site DESIGNMOTEUR, la ligne éditoriale est ce qu’elle est, mais surtout l’éthique du site est orienté d’après les ‘best practices’ du web, moi en tant que web designer. DESIGNMOTEUR a toujours eu pour politique de limiter la publicité affichée sur les pages et articles au strict minimum et de la cadrer sur des règles précises, notamment deux emplacements bien déterminés, avec en particulier pas de son, pas de pop-up, pas de présence au milieu du contenu.

En faisant le bilan des sites français que je fréquente, je distingue trois catégories :

– Les sites persos et/ou communautaires (hors réseau sociaux) : blogs, forums, etc. Pas ou peu de pubs.
– Les sites à haute valeur ajouté : Pub raisonnable ou abonnement.
– Les sites de la presse généraliste ou spécialisé, d’actu, de buzz : quantité de pub intrusive, c’est chiant.

Personnellement, je ne vais pas payer un abonnement, à tout bout de champs non plus, parce qu’après, ça risque de coûter plus cher de surf que d’abonnement Internet. Et donc je ne vois pas non plus, quelqu’un, tout à chacun, payer un abonnement pour disons une dizaine de ses sites favoris. Et quid de la partie échange coordonnées bancaire et système à mettre en place pour chaque site !?!?!?

Ce qui peut signifier que tôt ou tard, on arrivera à une voire la sélection naturelle. Le portefeuille ne sera pas extensible à l’infini et certains sites devront fermer.


Et pour aller plus loin, voilà ci-dessous ce que j’avais écrit début octobre 2015, et que je n’avais pas encore publié. Là en réponse de l’article de Next INpact (Gratuité sur internet contre publicité : les éditeurs doivent repenser leurs pratiques), ça me fait penser à le publier, maintenant. Car tout cela peut amener à de la réflexion, pour chacun d’entre nous.


A nous, ensemble, de trouver un meilleur modèle éco efficace

On commence par une « étude » de son texte pertinent, via un article publié par un ancien rédacteur, et co-fondateur de JeuxVideo.com le site qui s’est fait racheté, tout récemment ! Et autant le dire, pour moi, c’est un des premier vrai site dont je me souvient, de l’époque quand le modem faisait une douce musique à la connexion. Génération 1990.

« La dictature de la gratuité du net »

via La dictature de la gratuité du net, Dinowan.

En m’inspirant de son article, et en citant entre guillemet ici, en fait, je retrouve exactement ce que je pense, ce que je vois au quotidien autant du coté visiteur, que du côté éditeur, et je vois que tout les sites expérimentent la même chose, quelque soit la taille du site !

Pour faire vivre un site web : soit on diffuse de la pub afin d’assurer la livraison d’un contenu gratuit à ses internautes, soit on propose un accès payant, partiel ou total. Entre les deux décisions, on trouve de rares modèles alternatifs.

Personnellement et professionnellement, j’aimerais, recevoir une partie de revenus de la conception de sites web pour des tiers du secteur auto, moto, sport, média et de proposer une solution adapté, pour les pilotes, les équipes et les marques dans le sport automobile, ou encore les photographes spécialisés, ou entre autres les entreprises de l’industrie automobile et moto.

Jamais je n’aurais pensé que DM devient un tel projet. Et comme depuis 2013, j’ai ma petite entreprise de site web, alors pourquoi ne pas me spécialiser dans la communication visuelle, création de site web, référencement, dans le domaine de l’automobile, de la moto et du sport mécanique. Et faire profiter des acquis d’expérience ou des technologies mis en place pour le site DM.

Moi-même, qui surf sur le web depuis les années fin 90, j’ai longtemps admis l’idée de ne pas payer pour accéder à une info, comme tout le monde quoi. Le web était surtout composé de sites qui partageaient sans se poser de questions ce qu’ils pouvaient.

« Le net est depuis ses début un média gratuit, et créer, maintenir ou faire vivre un site ne coûte rien. Depuis, on est passé d’un réseau de sites perso à un réseau de sites professionnels avec des besoins et des ambitions en perpétuelle croissance. » Même les grands groupes de Presse sont sur le Web.

Les revenus publicitaires dépendent du trafic généré : plus on a du contenu, plus on publie, plus on attire, et plus on reçoit. Mais, il faut énormément de pub, peu importe sa forme, pour en tirer un profit significatif, pour assurer ses dépenses en tout genre, tel que l’hébergement. On est proche du centime par paliers de milliers de pages.

« Ce que peut vendre un site, c’est un espace d’affichage tarifé selon son public. Pour maximiser la vente de l’espace publicitaire ou les probabilités de clic, il faut s’appuyer sur une audience conséquente. »

« Produire un contenu, ça n’est pas différent de produire un bien classique, il vous faut du temps, donc un revenu », et on ajoute tout ce qui a permis de créer le contenu : logiciel, matériel, hébergement, entre autres.

Pendant que vous vous consacrez à cette production, vous ne faites rien d’autre, donc aucune rémunération possible sans travail.

« Une fois ce coût obtenu, on regarde combien on a fait de pages vues, de là on sait combien elle a rapporté… Si vous avez passé 3 jours à bosser sur votre contribution, il lui faudra atteindre un seuil X de pages vues pour être à l’équilibre, X+1 pour être rentable. »

La blague, « on peut faire un carton d’audience avec quelques lignes sur un sujet qui fonctionne à coup sûr, dont la réalisation prend quelques minutes à quelques heures. »

Commence alors l’infernale course à l’audience qui vous oblige à faire toujours plus que les autres et qui affecte désormais tous les sites, même ceux encore plus encore ceux de la Presse et grand médias.

Le web est envahie de publicité, autant intrusive qu’en quantité.

Qu’importe, ayez toujours en tête si vous cliquez sur un contenu, il n’existe qu’une colonne statistique le nombre de « pages vues ».

Au final, « il ne s’agit plus d’informer, « éduquer », distraire l’internaute, il ne s’agit davantage de produire du contenu mais de produire du clic, le véritable produit fini du web tout gratuit. »

La seule unité de mesure de la qualité sur le net, ne veut rien dire puisque cela ne signifie même pas que le contenu a été lu ou vu, juste qu’il a été ouvert parce que son titre a fait venir du monde.

Un lectorat, dont une partie de plus en plus importante provient de Google ou d’un lien externe, a cliqué pour finalement fermer la page aussitôt.

« Le net tout entier s’est mué en média de zapping, on hésite à produire des formats qui nécessitent un engagement dans la consultation, au contraire, on barde les pages de renvois vers d’autres articles que le lecteur pourra commenter sans les avoir vraiment lus et plus personne n’arrive à rester concentré sur un texte de plus de 300 signes. »

« Les sites diffusent ce que les internautes consultent. »

« Est-ce qu’on peut reprocher aux internautes d’avoir envie de consommer le net comme un simple ensemble de contenus grignotables ? Après tout ils font ce qu’ils veulent. »

« Donc, c’est aux internautes de responsabiliser leur surf, car les contenus intelligents existent, il y en a plein. Il faut savoir consommer « militant » et ne plus cliquer sur tout et n’importe quoi. Mais c’est aussi aux sites de trouver un moyen de les valoriser et de ne pas simplement baisser les bras pour tout miser sur le clic facile. »

« La course l’audience, contrainte pour certains, commerce pour d’autres, est la conséquence directe du modèle gratuit et elle va de paire avec la course au référencement. Je ne ferai pas une tartine sur le SEO, en grande partie parce que c’est affreusement technique mais aussi parce qu’il ne disparaîtrait pas dans un modèle payant. Et après tout il est normal de vouloir être bien référencé, comme il est normal de vouloir être bien placé dans les rayons d’une librairie. Les problèmes arrivent lorsque les choses vont trop loin et que le SEO dicte sa loi à tous les étages. Le SEO, pour ceux qui l’ignorent c’est en quelque sorte l’art de plaire à Google et donc de se faire bien voir, au sens propre. Bon techniquement c’est l’art de booster les résultats de tous les moteurs mais être bien placé sur Bing ou Yahoo tout le monde s’en fout. »

Etant du métier du SEO, je confirme. Et sachez que pour DM, je n’ai mis en place que du ‘natural SEO’, c’est à dire, de ne miser que sur le contenu, la hiérarchie des titres (h2, h3 et h4 et plusieurs fois à nouveau h2, h3, comme un plan d’un exposé quoi), et la technique. Tout ce qui est autre, je ne fais pas (genre les backlinks, les keywords, le choix des mots, le nombre de mots)

« La gratuité, c’est donc cette double dépendance. Du point de vue éditorial, la dépendance financière vis à vis d’un annonceur, ça se gère. En tout cas ça se gérait. Oui, il arrive que des budgets sautent pour un mot qui ne plaît pas mais on s’en débrouille et les annonceurs usant de cette pratique ne sont pas si nombreux. Mais le modèle du financement publicitaire a atteint son apothéose ces derniers temps, le jour où les annonceurs ont pris conscience qu’ils pouvaient imposer leur volonté et de nouveaux formats. »

« Les pubs traditionnelles ne fonctionnent plus, elles sont bloquées par adblock ou ignorées par des cerveaux rompus à l’exercice. Les annonceurs n’en veulent plus, d’autant qu’ils ont découvert le brand content et le native ad, des formats insidieux qui brouillent la frontière entre information, divertissement et publicité, des formats redoutablement efficaces. Le brand content n’a rien de récent, ni de nécessairement machiavélique sur le fond, il existe depuis des années, mais on le connaissait surtout à la télé et sous des formes clairement affichées. Comme les programmes courts entre la météo et le film du soir dans lequel Madame Brigitte vous explique comment planter un clou avec un marteau achetée dans l’enseigne de bricolage qui paie la production de l’émission. Le brand content, c’est une marque qui fait de l’éditorial vantant ses propres mérites. Une approche plus subtile qui lui permet d’être positivement présente à l’esprit des consommateurs et non d’être associée à une publicité agressive et parasite que le cerveau a appris à complètement ignorer, voire à rejeter. »

« Donc on se retrouve avec la pression de la course à l’audience, l’évolution des désirs des annonceurs, l’obligation de faire le buzz et de devenir un pur relais de la com d’une marque… »

L’un des problèmes du modèle payant, peu importe sa forme, est de payer ! « Si on vous demande de payer, ce n’est pas par avidité. c’est pour se sortir de la dépendance et financer des productions de qualité destinées à un public précis. »

« Il faut distinguer deux types de public sur le web. L’audience de chaque site se décompose grosso modo en deux catégories : son lectorat et ce qu’on pourrait appeler le public de passage. Encore une fois, si on schématise, vous avez un coeur de cible, vos habitués, à côté, vous avez ceux qui viennent de temps à autres, des lecteurs occasionnels mais relativement attachés et ceux qui sont arrivés là un peu par hasard, depuis un lien externe, Google, réseaux sociaux, forums etc. C’est dans ce groupe que se trouve l’audience que l’on capte par des contenus « à clics » et qui a pour vocation de faire croître les chiffres que l’on avance à ses annonceurs. »

« Le cœur de cible, le lectorat, représente une part relativement faible du nombre de visiteurs affichés par les statistiques bruts de fréquentation, mais chacun de ces lecteurs consomme plus de pages que les visiteurs de passage et donc plus de pubs chaque jour » – peut-être.

« Exactement comme un magazine s’appuie sur sa base d’abonnés ou d’acheteurs réguliers plus que sur ceux qui cèdent à la vue d’un marronnier de l’été. Certes, on peut capter et retenir le public de passage, à condition de l’avoir attiré pour les bonnes raisons. »

« L’offre payante a de multiples avantages. Le premier, c’est de libérer le site de sa dépendance, les autres, c’est de créer un attachement à la publication. On a payé pour du contenu, alors on va en profiter. Et la réciproque est tout aussi vraie, quand on vous a payé, vous êtes redevable envers vos lecteurs qui se matérialisent, ne sont plus de simples chiffres et une masse interchangeable fondue dans le trafic global, trop souvent représentés par une minorité vociférante dans les commentaires. »

« Vos vrais lecteurs, certes moins nombreux, non seulement prennent corps mais il devient possible d’identifier leurs attentes et de financer au moins en partie une offre qui puisse y répondre sans avoir à se poser de questions. Mais vivre des revenus provenant d’abonnés reste encore illusoire, même si peu à peu tout le monde commence à s’y mettre. »

LE vrai problème, c’est que si tous les site s’y met, on ne pourras pas payer pour tous. Donc, au final on se rapproche du modèle de la Presse et de l’achat du magazine une fois par semaine. Mais si on fait les compte, on ne peux pas payer à chaque fois, pour le nombre de site que l’on visite. Et, nombreux iront voir un autre site, gratuit, à la place.

« Des formules payantes, il en existe une multitude, le metered paywall, qui vous laisse libre d’accéder à un nombre X d’articles sur une période de temps, celui qui réserve des contenus premium aux lecteurs payants, le système très optimiste de « pourboire » qui invite à payer en fin d’article etc. Les solutions sont à inventer et très franchement, moi, des solutions je n’en ai pas, je suis juste un vieux con qui râle et s’offre une psychanalyse en ligne. »

Et si on fait état rapide des lieux, 2015 a connu ça : le site Jeuxvideo.fr via le groupe M6 a finalement décider de le fermer et de fusionner avec Clubic. Aussi, Allociné a rejoint JV.com racheté par un gros Groupe Média. Les fondateurs de JV.com on créée le site ExtraLife.fr. Concernant le sport auto, le site français ToileF1 a fusionné avec le géant international Motorsport.com.


A nous, blogueurs, de trouver un meilleur modèle éco efficace

Récemment, l’article publié par le team Planète-GT m’a fait prendre conscience aussi d’autres trucs dont une certaine universalité de cette recherche de modèle économique ! Je cite, l’auteur :

« Il va falloir être honnête, le futur de Planète-GT.com TV est un peu flou. Depuis le début on va dire que c’était facile, la partie difficile commence maintenant. Jusqu’à aujourd’hui je me suis débrouillé mais l’argent reste le nerf de la guerre. Aujourd’hui on n’en fait pas, (ce n’était pas l’objectif premier) mais il va falloir que je songe à vivre. Autrement dit, soit on trouve un plan de monétisation permettant de continuer PGT TV à quasi plein temps, soit je devrais ralentir fortement pour aller faire des sous. Je songe à vous demander un petit soutien financier, mais je n’ai pas la certitude que tout le monde soit prêt ou en ai l’envie pour atteindre un chiffre intéressant. Imaginez juste si 30-50% de nos 4000 abonnés était prêt à donner 1€ par mois ou plus…
Il va falloir également développer une autre approche avec les constructeurs, beaucoup de travail en perspective. »

« Il me reste encore quelques essais à tourner cette année, je ne sais pas comment je ferai l’an prochain. Si je prends un travail, aller en essai sera compliqué. Ici on est 2, je m’occupe plus ou moins seul de la partie vidéo, Fabien a un boulot à temps plein. Vous voyez le soucis… »

Extrait de l’article On n’a pas gagné mais on a gagné !


Et, franchement, d’abord, moi-même, j’ai vu l’évolution du site Planète-GT.com depuis nombreuses année maintenant, également vu à l’œuvre le travail réalisé par eux, rencontré In Real Life, lors mon invitation de Renault-Dacia pour le Duster, en 2013, sans trop savoir que c’était eux pour ce site là en fait ! Et je ne peux que saluer leur travail et leur passion ! Le site a évolué dans le bon sens et il a pris en qualité au fil des années. Et mention spéciale à la qualité de leurs vidéos !


Aussi, je tiens à parler du site www.blenheimgang.com que je qualifie de super site. Mais, le problème pour moi est d’avoir choisi le chemin de proposer l’abonnement à ses visiteurs. Et donc de fermer aux nouveaux sans le sou d’accéder à leur article. Alors, certes, c’est une solution. Cela peut être rentable, efficace etc. Et tout plein de qualité. Mais moi, je ne conçois pas que l’abo soit la solution idéale. Car trop de contrainte, déjà côté éditeur à mettre en place tout le système (techniquement, monétairement, et législativement) et ensuite coté visiteur, ça limite l’accès au contenu, entre autres. C’est en cela, que pour moi, cela n’est pas une solution respectable pour le visiteur et l’éditeur. Respectable au sens efficient en tant que charge de travail pour l’éditeur et ajout d’obstacle pour le visiteur ! Et aussi, un élément qui fait que l’on a tendance à écrire pour ses abonnés et ce qui a été lu d’abord. Comme l’explique bien mieux que moi, Dinowan l’auteur de l’article que j’ai cité, ci-dessus !


On peut aussi parler de ce que a mis en place, BOITIER ROUGE avec cette phrase à chaque fin d’article : « Si vous souhaitez soutenir Boîtier Rouge, faites un don : https://www.leetchi.com/c/boitier-rouge ! »


Après, encore une fois, chaque solution actuelle est bonne ! Ce n’est pas une critique négative mais mon avis argumenté sur le sujet !


Bref, chacun propose quelque chose. Mais chacun propose quelque chose toujours sur le même choix ultime entre l’abonnement, la publicité, ou les dons. Et chacun à ses inconvénient et avantages. Comme pour beaucoup de choses d’ailleurs ! Cependant, je suis sûr qu’au vu du nombre d’articles à ce sujet, vu sur le web en 2014 et en 2015, sur de nombreux sites et blogs, … on peut/doit trouver un meilleur modèle économique, viable, rémunérateur, respectueux autant pour le visiteur, l’éditeur, l’annonceur.


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Ewen LJ

Team Principal - Fondateur du concept-site superblog DESIGNMOTEUR. Web designer, entrepreneur, passionné par le web, la photographie entre autres et les voitures... depuis toujours soit depuis +25 ans. Depuis octobre 2012, J’écris quelques mots en tant que passionné de l’automobile, de la moto et des sports mécaniques, en axant mes sujets sur le design automobile, la motorisation du véhicule, la communication visuelle des constructeurs, le marketing de la marque, sur l'Économie de l'industrie automobile et sur d'autres thèmes tels que la Mode, l'Art, le Cinéma, le Jeu Vidéo et ses relations avec l'Automobile.

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