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Le Mans Classic 2016 : programme 8, 9 et 10 juillet +livestream video +MAJ videos


Le Mans Classic se déroule en ce moment, les 8, 9 et 10 juillet 2016 ! Tous les deux ans, Le Mans Classic met en scène sur la piste du légendaire circuit des voitures de tout temps. Découvrez le programme !

Le Mans Classic ?

Créé en 2002 par Peter Auto et l’Automobile Club de l’Ouest, Le Mans Classic offrait pour la première fois une formidable rétrospective des 24 Heures du Mans aux amateurs d’automobiles d’exception. Plébiscité dès sa première édition, l’évènement n’a cessé d’asseoir sa notoriété au fil des éditions suivantes pour s’établir comme un must attendu tous les deux ans par le public et les participants. Ce rendez-vous incontournable de la compétition historique internationale enregistre depuis sa création une fréquentation régulièrement en hausse et a dépassé le cap des 110 000 spectateurs lors de la dernière édition en 2014. Dans les paddocks et en bord de piste, tous viennent admirer les bolides qui ont écrit l’Histoire de la célèbre course mancelle.

Le Mans Classic 2016

Parmi les autres temps forts du week-end, le très prestigieux Concours Le Mans Heritage Club qui réunit 24 châssis triés sur le volet, ayant tous participé aux 24 Heures du Mans entre 1923 et aujourd’hui ; l’hommage à Ligier avec la présence de plusieurs JS1 et JS2, l’Exposition Spéciale F.F.V.E intitulée « Les Transporteurs des écuries de course » qui constituera une première ; la Vente aux enchères Artcurial Motorcars avec plus d’une centaine de voitures
d’exception proposées.

Le Mans Classic 2016 livestream

Une Web TV vous permet de suivre l’intégralité du Mans Classic 2016 via YouTube. Le live-vidéo va retransmettre 16h d’épreuve en direct. Le dispositif est complété par un live-texte et les classements actualisés au fil des courses.

WATCH LIVE LE MANS CLASSIC / REGARDEZ LE MANS CLASSIC EN DIRECT


Le Mans Classic gives a great retrospective of the 24 Hours of Le Mans every two years. Praised since its first edition, the event has continued to establish itself over the next editions. A must-see, the historic competition will celebrate its seventh edition with an increasingly larger audience of loyal fans (110.000 spectators in 2014). #LeMansClassic
Organisé tous les deux ans, Le Mans Classic offre une formidable rétrospective des 24 Heures du Mans. Plébiscité dès sa première édition en 2002, l’évènement n’a cessé d’asseoir sa notoriété pour s’établir comme un must en matière d’évènement automobile. Ce rendez-vous incontournable rassemble un public toujours plus nombreux (110.000 spectateurs en 2014).

SAMEDI 9 JUILLET
10h20 – 11h40 Jaguar Classic Challenge
11h40 – 13h00 Group C Racing
15h20 – 16h00 Little Big Mans
16h00 – 17h20 Plateau 1 (course 1)
17h20 – 19h00 Plateau 2 (course 1)
19h00 – 20h40 Plateau 3 (course 1)
20h40 – 22h00 Plateau 4 (course 1)

DIMANCHE 10 JUILLET
08h15 – 09h30 Plateau 1 (course 3)
09h30 – 10h45 Plateau 2 (course 3)
10h45 – 12h00 Plateau 3 (course 3)
12h00 – 13h45 Plateau 4 (course 3)
13h45 – 15h00 Plateau 5 (course 3)
15h00 – 16h00 Plateau 6 (course 3)


Group C Racing

Pour la première fois au Mans Classic, le Group C Racing prendra la piste avec près de cinquante bolides pour deux séances d’essais qualificatifs (vendredi) et une course de quarante-cinq minutes (samedi) en lever de rideau de la 8ème édition de l’évènement. Afin d’être la plus exhaustive possible, la rétrospective des 24 Heures du Mans orchestrée par Peter Auto et l’ACO se devait de compléter la période qui couvrait l’histoire de la célèbre course de 1923 à 1979 en s’ouvrant à l’ère exceptionnelle du Group C allant de 1982 à 1993.

Les prototypes du Group C Racing entrent en piste aujourd'hui ! #LeMansClassic #LeMans24

Une photo publiée par Peter Auto (@peterauto) le

D’allure moderne avec leur pare-brise en bulle, leurs portes en élytre et leur aileron monumental, les Group C fascinent toutes les générations et sont encore capables de performances proches de celles des prototypes LMP actuels, leur vitesse de pointe pouvant dépasser les 300 km/h ! Vendredi 8 et samedi 9 juillet, un plateau composé des plus beaux exemplaires du Group C retrouvera son terrain de jeu favori et un public d’inconditionnels comblés de pouvoir revoir en piste ces icônes de l’Endurance.

490 automobiles de compétition sont réparties en six plateaux correspondant chacun à une période. Les modèles retenus sont ceux qui ont participé aux 24 Heures du Mans entre 1923 et 1981. Priorité est donnée aux autos qui ont elles-mêmes couru l’épreuve à l’époque. Pour chaque plateau, dix voitures de réserve participent aux séances d’essais de jour et de nuit, elles sont ainsi prêtes à combler tout désistement ou abandon d’une autre automobile. Un départ en épi dit « Le Mans », comme il fut donné de 1925 à 1969, sera organisé pour les plateaux 1-2-3-4. Les autres, beaucoup plus rapides, s’élanceront selon la procédure
du départ lancé.

PLATEAU 1 (1923-1939) (65 voitures)

Le Mans Classic 2016 – Plateau 1 (1923-1939)

Les modèles de marques de renom qui se sont illustrées avant-guerre sur la classique mancelle reviennent sur le terrain de leurs exploits : Alfa Romeo 8C, Aston Martin 2 Litres Speed, Bentley 4,5L, BMW 328, Bugatti 35, 37 et 51, Invicta S, ou encore Lagonda LG45 et V12 Le Mans, Talbot 105 d’usine présentes en nombre, incarnant les engagements successifs de la marque au Mans…

Parmi les nombreux modèles présents, citons plus particulièrement une Aston Martin « Ulster » classée 8ème aux 24 Heures en 1935. Une Bentley 3 Litres Speed Model 1925 ex-usine. La Citroën C4 Roadster 1932, unique modèle de la marque au chevron engagé au Mans. La Delage D6-70 Special, 4ème au classement général et 1ère de sa catégorie en 1937. La Delahaye 135 S, 2ème de l’édition 1937. Une Talbot Lago, ex monoplace décalée, qui s’aligna aux 500 Miles d’Indianapolis en 1941, 1946 et 1947, avant de décrocher la 2ème place des 24 Heures du Mans en 1950.

Au fil des éditions, ce plateau s’est également enrichi de voitures plus modestes, mais toutes aussi intéressantes sur le plan historique : MG Magnette K3, Morgan 4/4, Riley Brooklands, Singer Le Mans, HRG 1500… Sans oublier une Peugeot 402 Darl’mat 1938. Au final, ce plateau présente une grande variété de marques et de modèles et constitue une rétrospective inédite de cette période.

Pendant que les #jaguar prennent la piste d'assaut, le plateau 1 se prépare, vous êtes déjà si nombreux !

Une vidéo publiée par Peter Auto (@peterauto) le


PLATEAU 2 (1949-1956) (75 voitures)

Le Mans Classic 2016 – Plateau 2 (1949-1956)

L’après-guerre marque un tournant important en matière de technologie automobile : moteurs plus développés, aérodynamiques soignées… Des ensembles plus performants, conçus et engagés en course par des écuries officielles de plus en plus professionnelles. Dès lors, les luttesen piste vont se révéler plus serrées entre les concurrents.

Un scénario que les engagés de ce plateau, aux commandes des nombreuses Aston Martin DB, Jaguar C, D et XK, Maserati 300 S et A6 GCS, Austin Healey 100 M, Lancia Aurelia, Lotus IX et XI, Porsche 356 et autres Triumph TR2, auront à cœur de raviver. Parmi elles, signalons la Jaguar Type D qui remporta les 24 Heures du Mans en 1955 avec les Britanniques Mike Hawthorn et Ivor Bueb, qui sera pilotée pour l’occasion par un grand spécialiste de l’épreuve : Andy Wallace, vainqueur dans la Sarthe en 1988 sur une… Jaguar XJR-9LM. Citons aussi l’engagement de deux Jaguar Type C, modèle qui s’imposa au Mans en 1951 et 1953.

PLATEAU 3 (1957-1961) (75 voitures)

AC Ace Bristol, Aston Martin DB4 GT, Austin Healey 3000, DB HBR, Chevrolet Corvette C1, Cooper Monaco T49, Ferrari 250 GT Berlinetta, Lister Jaguar, pléthore de Lotus XI, XV, Elite, Maserati 300 S, MGA, Morgan+4, Osca 1600 GT Zagato, Panhard CD, Porsche 356 A, B et 550 Spyder, Tojero Climax et Triumph TR3 constituent
l’essentiel du plateau 3.

Au sein du peloton, les spectateurs pourront notamment admirer des modèles unique en leur genre comme une Lister Jaguar ‘Flat Iron’ 1958 et la Ferrari 250 GT Breadvan.

Une rare Peerless GT, première de sa classe en 1958. Une Deep Sanderson 301. Une MGA Twin Cam ex Le Mans 1958. Ou encore une Triumph TR3S 1959, modèle construit à trois exemplaires par l’usine, qui demeure le seul dans cette configuration spécifique.


PLATEAU 3 (1957-1961) (75 voitures)

Le Mans Classic – Plateau 3 (1957-1961)

AC Ace Bristol, Aston Martin DB4 GT, Austin Healey 3000, DB HBR, Chevrolet Corvette C1, Cooper Monaco T49, Ferrari 250 GT Berlinetta,
Lister Jaguar, pléthore de Lotus XI, XV, Elite, Maserati 300 S, MGA, Morgan+4, Osca 1600 GT Zagato, Panhard CD, Porsche 356 A, B et 550
Spyder, Tojero Climax et Triumph TR3 constituent l’essentiel du plateau 3. Au sein du peloton, les spectateurs pourront notamment admirer des modèles unique en leur genre comme une Lister Jaguar ‘Flat Iron’ 1958 et la Ferrari 250 GT Breadvan. Une rare Peerless GT, première de sa classe en 1958. Une Deep Sanderson 301. Une MGA Twin Cam ex Le Mans 1958. Ou encore une Triumph TR3S 1959, modèle construit à trois exemplaires par l’usine, qui demeure le seul dans cette configuration spécifique.


PLATEAU 4 (1962-1965) (75 voitures)

Le Mans Classic 2016 – Plateau 4 (1962-1965)

Ce plateau illustre la montée en puissance de l’engagement des machines made in USA dans l’épreuve sarthoise avec de nombreuses GT40, Shelby Cobra 289 et Shelby GT 350, Chevrolet Corvette C1 & C2. Parmi celles-ci, notons plusieurs GT40 ex Le Mans et l’unique GT40 roadster. Aux concurrentes américaines seront opposées,
comme à l’époque, les productions européennes. A commencer par les Ferrari, dont une 250 LM victorieuse aux 12 Heures de Sebring 1964 et plusieurs 275 GTB. Mentionnons aussi les nombreuses Jaguar Type E dont la version Low Drag 49 FXN, parmi des douze exemplaires Lightweight produits en 1963. Les nombreuses Porsche dont plusieurs 904/6 GTS. Trois Alpine, dont deux M63 (première voiture de course développée par la firme de Dieppe pour les courses de voitures de sport) et une M65 qui sera confiée à Jean Ragnotti. Citons enfin des Abarth Simca, Alfa Romeo TZ, Marcos Mini GT, René Bonnet Djet, une rare Elva GT 160, contribuant à la grande variété de ce plateau.


PLATEAU 5 (1966-1971) (75 voitures)

Le Mans Classic 2016 – Plateau 5 (1966-1971)

Ce plateau illustre la montée en puissance de l’engagement des machines made in USA dans l’épreuve sarthoise avec de nombreuses GT40, Shelby Cobra 289 et Shelby GT 350, Chevrolet Corvette C1 & C2. Parmi celles-ci, notons plusieurs GT40 ex Le Mans et l’unique GT40 roadster. Aux concurrentes américaines seront opposées, comme à l’époque, les productions européennes. A commencer par les Ferrari, dont une 250 LM victorieuse aux 12 Heures de Sebring 1964 et plusieurs 275 GTB. entionnons aussi les nombreuses Jaguar Type E dont la version Low Drag 49 FXN, parmi des douze exemplaires Lightweight produits en 1963.

Les nombreuses Porsche dont plusieurs 904/6 GTS. Trois Alpine, dont deux M63 (première voiture de course développée par la firme de Dieppe pour les courses de voitures de sport) et une M65 qui sera confiée à Jean Ragnotti. Citons enfin des Abarth Simca, Alfa Romeo TZ, Marcos Mini GT, René Bonnet Djet, une rare Elva GT 160, contribuant à la grande variété de ce plateau.


PLATEAU 6 (1972-1981) (75 voitures)

Le Mans Classic 2016 – Plateau 6 (1972-1981)

Ce plateau, le plus contemporain à participer aux deux tours d’horloge du Mans Classic, a vu sa période allongée de deux ans (passant de 1979 à 81) afin de faire le lien avec le Group C. Il rassemble lui aussi nombre de modèles qui ont marqué leur époque.

A commencer par l’Alpine A443 qui incarna la dernière génération de prototypes conçus à cette période par Renault dans sa conquête de la victoire sarthoise face à Porsche qui sera pilotée par Jean Ragnotti. Notons aussi l’Inaltera de 1976, premier prototype construit par Jean Rondeau, que l’on retrouvera avec Henri Pescarolo et Julien Beltoise (dont le père fut l’un des pilotes de l’époque). Rondeau sera également représenté par une M378 qui termina neuvième du classement général en 1978 et remporta la catégorie GTP. Machine qui détient le record du plus grand nombre de participations au Mans (10).

L’intérêt se portera également sur une Gulf Mirage M6 qui remporta les 1000 KM de Spa en 1973. D’anciens modèles du très populaire championnat NASCAR seront également de la partie : une Ford Gran Torino, une Dodge Charger ou une Chevrolet Monza, grande rivale des Porsche en IMSA. Citons cinq Ferrari 512 BB LM, une Moynet LM 75 et de nombreuses Porsche 924 et 935 et autres BMW M1 & 3.0 CSL, Chevron B31, B36, Lola T290, T292, T298 (ainsi que la De Cadenet T380).


Les clubs

Acteurs nombreux et incontournables, les clubs de marque et multimarques incarnent les gardiens du patrimoine automobile historique et bénéficient d’une place de choix au Mans Classic. Rassemblement unique en Europe, ce rendez-vous bisannuel accueillera plus de 8500 voitures au travers de plus de 180 clubs représentant environ 60 marques. Sont admis à l’Espace Clubs, les voitures d’avant 1966 dans un état de présentation irréprochable, ainsi que quelques modèles plus récents -les Happy Few- s’inscrivant d’ores et déjà
parmi les « Classiques »

Parmi les anniversaires célébrés au Mans Classic en 2016, citons le Centenaire de BMW avec la présence de 300 voitures de la marque (avant & après-guerre), dont 50 modèles M, qui participeront à une parade d’honneur. Un rendez-vous que les nombreux clubs BMW (BMW Club de France, BMW M Club de France, BMW Horizon 2002, BMW Z3 Club de France, BMW Z1 Club de France…) ne pouvaient manquer.

Les cinquante ans de la première victoire de la Ford GT40 aux 24 Heures du Mans seront également honorés avec une large exposition d’exemplaires de cette machine mythique (50 Ford GT40 et 30 Ford GT).

Parmi les autres clubs figurent notamment l’Alfa Romeo Club de France, l’AC France, l’Amicale XJ, les Aston Martin Owners Club France, Grande-Bretagne et Luxembourg, le Bentley Drivers Club, l’Healey Drivers Club, le Club Hotchkiss, le Club Jag, le Jaguar Drivers Club E-Type Register, le Jensen Owners Club, la Fédération des clubs Porsche, Renault Classic, le Talbot Owners Club et le TVR Car Club de France, le Club Viper Passion et le 289 Register. Les marques françaises de prestige seront quant à elles représentées par les Amis de Delage, l’Amicale Facel Vega ou encore le Club Hotchkiss. Citons également parmi les clubs multimarques : Vincennes en Anciennes, l’Amicale des Vieux Carbus, les Belles Mécaniques d’Autrefois ou encore la Nostalgie des Vieux Volants.

L’espace Super Car Club dédié aux plus belles GT modernes est reconduit et réunira près d’une centaine de voitures (Aston Martin One 77, DB9, Bugatti Veyron, La Ferrari, Ferrari 599 GTO, Ferrari F12 TDF, Lamborghini Adventador, McLaren MP4-12C, Mercedes SLS AMG, Nissan GT-R, Pagani Huayra…).

La parade des clubs sera une occasion pour les propriétaires de boucler les 13,629 km du circuit et de se lancer dans la célèbre ligne droite des Hunaudières que tous ont eu le rêve de parcourir un jour… Enfin, dans le cadre du Grand Prix des Clubs sera intégré le Dress Code Retro Spirit qui participera à hauteur de 50% dans la notation du jury composé notamment par la FFVE (Fédération Française des Véhicules d’Epoque) et la FIVA (Fédération Internationale des Véhicules Anciens).

Le Mans Heritage Club

Autre temps fort de l’évènement, le très prestigieux Concours Le Mans Heritage Club réunira 24 châssis, triés sur le volet, ayant participé aux 24 Heures du Mans de 1923 à nos jours. Parmi les voitures sélectionnées, on citera une Talbot 105 qui participa à l’épreuve en 1931, une Aston Martin Ulster qui fut engagée au Mans en 1934, une Frazer Nash Sebring qui courut en 1955 & 1957, la Ford GT40 qui s’imposa lors de l’édition 1966, une Lola T600 (dont on se souvient que, grâce à l’aérodynamicien Max Sardou, elle fut l’une des premières voitures de sport à utiliser l’effet de sol), ou encore la Porsche 993 GT1 (Boutsen/Wolleck/Stuck) qui se bâtit pour la victoire de l’édition 1997 avant d’être contrainte à renoncer à moins de huit heures de l’arrivée. Les 24 élues effectueront un tour d’honneur, offrant au public un aperçu des plus exceptionnels bolides ayant écrit l’Histoire de cette épreuve sur près d’un siècle.

Transporteurs des écuries de course au Mans

La Fédération Française des Véhicules d’Epoque (F.F.V.E.) et Peter Auto s’associent cette année pour rendre hommage aux transporteurs des écuries de course au Mans. Il s’agira de la première exposition de ce type au Mans Classic.

#lemansclassic #Ford #Cobra #Fiat #ecurie

Une photo publiée par Peter Auto (@peterauto) le

Avec cette exposition, qui succède à celle des carrossiers français en 2014, Le Mans Classic souhaite mettre en lumière de véritables monuments témoins de l’Histoire de l’Automobile, trop longtemps restés dans l’ombre des grands châssis, des grands pilotes et des grandes marques. Sans ces véhicules transporteurs, il n’y aurait pas eu d’autos sur les circuits, il n’y aurait pas eu de courses, il n’y aurait pas eu d’histoire…

Pour célébrer l’hommage qui leur sera rendu, tous les transporteurs de l’exposition seront invités à effectuer un tour de piste pour parader sur le grand circuit de la Sarthe le samedi 9 Juillet. Citons parmi les transporteurs attendus, ceux de Alpine, BRM, Ecurie Ecosse, Ferrari, Ford Cobra, Gordini, Ligier ou encore Porsche Gulf.

Le Mans Classic 2016 – vidéos

Le Mans Classic 2016 – Jeudi


Préparatifs Le Mans Classic 2016

Le Mans Classic 2016 – Clip Jeudi

Le Mans Classic 2016 – Vendredi

Le Mans Classic 2016 – Ambiance paddock, village, pitlane, départ…

Le Mans Classic 2016 – Samedi

Le Mans Classic 2016 – Clip Samedi

Le Mans Classic 2016 – Nuit Magique !

Le Mans Classic 2016 – Résumé samedi


Source et images :
lemansclassic.com


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Ewen LJ

Team Principal - Fondateur du concept-site superblog DESIGNMOTEUR. Web designer, entrepreneur, passionné par le web, la photographie entre autres et les voitures... depuis toujours soit depuis +25 ans. Depuis octobre 2012, J’écris quelques mots en tant que passionné de l’automobile, de la moto et des sports mécaniques, en axant mes sujets sur le design automobile, la motorisation du véhicule, la communication visuelle des constructeurs, le marketing de la marque, sur l'Économie de l'industrie automobile et sur d'autres thèmes tels que la Mode, l'Art, le Cinéma, le Jeu Vidéo et ses relations avec l'Automobile.

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