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Quand deux mondes auto s’affrontent : UberPOP vs Taxis ! Une Revue de presse et blog


Quand deux mondes entrepreneuriaux s’affrontent sur la même offre, demande, même territoire, avec le même outils communs : l’automobile. Alors, oui, encore un article à des milles lieux de la ligne édito de DESIGNMOTEUR, mais bon, l’autre fois, c’était Découvrons « le Certificat de Qualité de l’Air », un arrêt sur les motorisations essence et diesel !? afin de comprendre la situation. Et là, bah j’aimerais comprendre ce bazar ambiant qui a un l’objet automobile comme moteur de fond de commerce. Et puis, on touche là deux entreprises et deux visions entrepreneuriales, ce qui au final ne s’éloigne pas tant que ça de la ligne éditoriale, quand on regarde la quantité d’article business publié ici à la section Economie & Business ! Par contre, ici l’article ne sera qu’une revue de presse et de blog qui propose des articles pertinents afin d’avoir une vue globales et des points de vue de chacun, sans exhaustivité, en toute (ni) objectivité, en toute (ni) subjectivité !

Les Taxis !

Commençons la lecture du site Boitier Rouge, une référence en terme de culture automobile, l’auteur publie un texte qui présente Taxis G7, intitulé : Taxis G7: la multinationale qui avait peur d’Uber, avec son franc parler, riche d’enseignement.

Et là, moi je découvre, déjà que les taxis (parisiens) sont réunis par un nom de compagnie dénommé taxis G7 ! En complément de son article, je vais aller voir Wikipedia. Entre autres, on apprend que :
Les taxis G7, originellement « Compagnie française des automobiles de place », ont été créés le 4 mars 1905 à l’initiative du Comte André Walewski, du baron Rognat et de la banque Mirabaud & Cie, le nom G7 étant celui attribué par la préfecture lors de leur immatriculation.

Aujourd’hui inclus dans le Groupe G7 également propriétaire des Taxis Bleus et présidés par Serge Metz, les Taxis G7 continuent de mettre en relation clients et près de 8 000 chauffeurs de taxis affiliés. Le groupe G7 affilie près de 11 000 des 17 000 taxis parisiens (environ 8 500 Taxis G7 au sein de la Société Nouvelle Groupement Taxis SNGT et un peu moins de 2 500 Taxis Bleus au sein de la société ALLO TAXIS).

Continuons la lecture chez Boitier Rouge et citons !

Extraits :
… L’homme est un financier, et un habile marketeur. Il fera de la G7 en son temps ce qu’est en train de devenir Uber aujourd’hui : une société bouleversant le marché à coup d’innovations technologiques et d’offres marketing intelligentes. J’imagine comme les chauffeurs de taxi indépendants ont dû être contents de voir arriver, en 1964, la première centrale de réservation de taxi par téléphone et radio-téléphone : une sorte d’application Uber avant l’heure. Mais au lieu de créer le bordel que l’on voit aujourd’hui, cette innovation obligera les compagnies concurrentes (les taxis bleus) à suivre (puis à se faire racheter par la G7 acquérant un quasi monopole) et les indépendants à s’affilier. Comment verrouiller le marché à moindre frais.

Serge Metz annonce ainsi qu’il va lancer un nouveau service destinée à la clientèle « jeune » rentrant bourrée de soirée (quasi sic), comme on peut le lire sur le Huffington Post (lire aussi : Huffingtonpost: La G7 propose des services moins chers pour les jeunes). La G7 qui a aussi lancé l’application WeCab, le taxi partagé, ou e-Cab, une appli haut de gamme ! Comme quoi ! Une saine réaction mais qui fait de la G7 un suiveur plutôt qu’un leader comme avant !

Lire la suite : Taxis G7: la multinationale qui avait peur d’Uber via Boitier Rouge.

Maintenant passons à l’autre en face, le challenger. Et découvrons un article pertinents davantage axé sur le business plan de l’entreprise Uber et de l’offre UberPop intitulé : UberPop, Un nouveau service urbain de Taxi entre Particulier et chez transportsdufutur.ademe.fr que l’on peut lire cet article, publié en février 2014.

Extraits :
Il s’agit donc véritablement d’un nouveau service de mobilité. Et il faut être vigilant sur les termes utilisés pour éviter les confusions. Il ne s’agit d’autopartage puisque le propriétaire de la voiture la conduit. Mais il ne s’agit pas non plus de covoiturage.

Le covoiturage se caractérise d’une part par un trajet commun, c’est à dire un trajet dont l’origine et la destination sont prévus et connus par le conducteur. Ce dernier prend sur sa route des personnes en leur ayant vendu des sièges libres pour ce trajet prédéfini. Les coûts utilisés pour le covoiturage se limitent au partage des frais du trajet.

… celui proposé par Uber avec UberPop est différent. Ce service peut être identifié comme étant une « offre de Taxi entre Particuliers », complémentaire aux autres offres de mobilité avec des conditions tarifaires, fiscales et légales spécifiques. Il reste donc à lui trouver un nom partagé par tous …

Néanmoins, quelques pistes peuvent être étudiées en amenant un troisième acteur : la collectivité. …

Lire la suite : UberPop, Un nouveau service urbain de Taxi entre Particulier

L’entreprise Uber !

Maintenant, intéressons nous à l’entreprise Uber. Retournons voir Wikipedia et lisons la page à propos de entreprise Uber.

Uber est une entreprise technologique qui développe et opère des applications mobiles de mise en contact d’utilisateurs avec des conducteurs réalisant des services de transport. Créé en 2009, et basée à San Francisco, en Californie.

L’idée leur vient en 2008 alors qu’ils assistent au salon LeWeb à Paris. Ils cherchent à se déplacer en taxi et n’arrivent pas à en trouver un (ajoutons askip, il neigeait ce jour-là et aucune voiture ne circulait (MAJ 17h38 : via Miss280ch + source qui cite cela via creads.fr Uber : les clés du succès), constatant les mêmes problèmes dans le système de taxis parisiens que dans celui de San Francisco. Alors qu’ils travaillent encore pour StumbleUpon, ils retournent à la Silicon Valley et montent un service de chauffeur privé à la demande nommé UberCab.

Le nom de domaine uber.com est initialement la propriété d’un service de blogue et de réseautage social, mais l’entreprise qui en a la propriété ayant fermé en septembre 2008, il est transféré à UberCab en 2009.

L’application est lancée à San Francisco en 2010 sur iOS et Android. Par la suite l’entreprise étend progressivement la couverture de son service à d’autres villes dans le monde. En décembre 2011, Travis Kalanick déclare que pour répondre à la demande croissante à laquelle fait face Uber, l’entreprise prévoit de couvrir 25 villes supplémentaires en dehors des États-Unis dans les 14 mois à venir, dont Paris.

En août 2013, la société Google et le fonds TPG décident d’investir dans Uber sur la base d’une valorisation de 3,5 milliards de dollars.

En janvier 2015 Uber leve 1,6 milliard de dollars auprès de Goldman Sachs. L’opération, réalisée sous la forme de convertibles, valorise l’entreprise à plus de 41 milliards de dollars.

À l’occasion du salon LeWeb11 du 7 au 9 décembre 2011, Uber annonce son lancement en France, à Paris. La capitale est la première ville hors des États-Unis à accueillir le service.

L’arrivée d’Uber à Paris s’inscrit dans un contexte de libéralisation du transport de personnes en France, puisque le 22 juillet 2009 a été votée la loi mettant fin à la notion de grande remise au profit de la réglementation exploitation de voitures de tourisme avec chauffeur. Simplifiant les règles sur la grande remise qui réglementent le transport haut de gamme, cette loi ouvre la voie aux voitures de tourisme avec chauffeur.

En juin 2013, Uber annonce élargir son offre à Paris avec le lancement d’UberX, une version économique d’Uber qui propose les mêmes services qu’un VTC traditionnel, mais avec des véhicules moins luxueux et à un prix réduit.

En décembre 2013, le Gouvernement français annonce l’instauration au 1er janvier 2014 d’un délai de 15 minutes obligatoire entre la commande et la prise en charge de l’usager chez les VTC.

4 sociétés de VTC (Allocab, Le Cab, Chauffeur-privé et Snapcar) saisissent le Conseil d’État. Le décret est finalement suspendu en référé en février 2014 pour un problème de distorsion de la concurrence. L’autorité de la Concurrence émet un avis favorable aux VTC en janvier 2014, et qualifie la loi Thévenoud d’« aveu d’échec concernant l’application efficace des mesures existantes pour lutter contre la maraude, et qui, sous couvert de régulation concurrentielle, vise à nouveau à régler un problème de police ». Selon l’avis, « d’autres dispositifs de contrôle seraient plus efficaces pour contrer la maraude illégale ».

UberPOP !

En février 2014, l’entreprise lance UberPOP à Paris et dans sa proche banlieue, une nouvelle option de transport entre particuliers. L’application permet à des conducteurs particuliers d’être contactés par des usagers pour des trajets urbains moins chers qu’UberX. Plusieurs critères sont mis en place pour être chauffeur d’UberPOP comme un âge minimum (21 ans), la possession d’un permis B depuis 1 an minimum et un extrait de casier judiciaire vierge. La France est le premier marché hors États-Unis à voir naître ce service.

Le service va rapidement s’attirer les foudres de la concurrence. Uber poursuit néanmoins son expansion : après Lyon en mars 2013 et Lille en juin 2014, l’entreprise se lance en septembre 2014 dans trois nouvelles villes françaises, Bordeaux, Toulouse et Nice. Uber couvre ainsi six villes françaises.

En octobre 2014, Uber lance une solution à destination des entreprises : Uber for Business. L’application permet aux entreprises de payer les déplacements professionnels de leurs employés. Un mois plus tard, en novembre, l’entreprise lance UberPOOL à Paris, une nouvelle option permettant de partager son trajet avec un autre utilisateur situé proche de soi et voyageant dans la même direction, afin de partager le prix du trajet.

Le même mois, deux sociétés de VTC, Transdev et Le Cab, portent plainte contre UberPOP pour « concurrence déloyale » au tribunal de commerce de Paris. Rapidement rejoints par les taxis, ils plaident sur la base de la loi Thévenoud, qu’ils combattaient quelques mois plus tôt, selon laquelle chaque conducteur de VTC doit suivre une formation d’un minimum de 250 heures. Uber est condamné en octobre à 100 000 euros d’amendes par le tribunal correctionnel de Paris pour pratiques commerciales trompeuses, la justice estimant qu’UberPOP ne doit pas être comparé à un service de covoiturage, mais à une offre payante de transport destinée aux particuliers.

Uber fait appel de la décision et peut ainsi continuer d’exercer en attendant la décision de la Cour d’appel.

Pour sa défense, la société assure que la loi Thévenoud n’est pas applicable, car elle n’a pas été notifiée à la Commission européenne et lance une pétition qui rassemble le 11 décembre 2014 plus de 54 000 signatures.

Le 12 décembre 2014, Le tribunal de commerce de Paris rejette la demande d’interdiction d’UberPOP considérant qu’il n’est pas compétent pour appliquer les sanctions pénales, mais également que l’examen de l’application de cette loi relève du droit européen et non d’une procédure en référé, l’évidence du cas n’étant pas démontrée. Le tribunal envoie également à la Cour de cassation deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) posées par les avocats d’Uber lors du procès.

Le gouvernement français annonce en revanche qu’UberPop sera interdite en France dès le 1er janvier 2015 quand la loi Thévenoud sur la régulation de la concurrence avec les taxis entrera en vigueur.

Uber déclare cependant compter poursuivre ses activités en 2015, y compris son service UberPOP : « le service continuera de fonctionner. Pour qu’il arrête, il faudra une décision de justice pour rendre exécutoire l’avis ministériel ».

La France est le second marché d’Uber en Europe, et depuis ses débuts, un « laboratoire d’expérimentation » pour l’entreprise. Selon Thibaud Simphal, Directeur de Uber France, le nombre d’utilisateurs de l’application en France s’élève à 500 000, dont 160 000 utilisateurs d’UberPOP.

Sur le marché français, Uber propose cinq services accessibles depuis l’application ou le site Internet de l’entreprise. Ces services se différencient en fonction du type de véhicule, du tarif et du type de chauffeur (professionnel, particulier régulier ou occasionnel), et proposent des tarifs différenciés.

-UberX, chauffeurs professionnels proposant des berlines standards ;
-Uber Berline, chauffeurs professionnels proposant des berlines de luxe ;
-UberVan, chauffeurs professionnels proposant des vans (généralement plus de places assises) ;
-UberPOP, conducteurs particuliers occasionnels au volant de leur véhicule personnel ;
-UberPool, permettant de partager son trajet avec un autre passager situé au même endroit et allant dans la même direction, grâce à des conducteurs particuliers occasionnels au volant de leur véhicule personnel.

versus

Lisons l’article publié par rue89.nouvelobs.com qui m’a surtout interpellé par le fait de présenter « une carte interactive d’une contestation mondiale »

Extraits :

Jeudi 25 juin 2015, les taxis des grandes villes françaises manifestent contre Uber. Les interdictions et les contestations se multiplient contre le service de chauffeurs non-professionnels dans les 57 pays où il est présent.

La tension est encore montée d’un cran ces derniers jours entre les chauffeurs professionnels et les amateurs utilisant le service UperPop.

Les taxis, grévistes et en colère, ont pourtant un appui de poids : la loi. Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a rappelé mardi que les chauffeurs utilisant UberPop étaient « en situation illégale absolue », depuis l’application de la loi Thévenoud au 1er janvier 2015.

Sous la pression des syndicats de chauffeurs professionnels, les plaintes en justice se multiplient, tout comme les contre-attaques juridiques de l’entreprise Uber. Face à ces dizaines de recours, les tribunaux émettent des jugements variables et souvent temporaires, faute de dispositifs législatifs adaptés. En France, la Cour de cassation vient de renvoyer la balle au Conseil constitutionnel, qui devra trancher sur la disposition contestée de la loi Thévenoud.

A San Francisco, son berceau, la commission du travail de l’Etat de Californie lui a infligé un sérieux revers la semaine dernière, en reconnaissant une conductrice UberPop comme une employée. Cela implique une remise en cause complète du système Uber, de son modèle économique fondé sur le recours à des travailleurs indépendants. Pour le moment, cette décision s’applique uniquement à ce cas, mais des « class actions » ont été lancées et d’autres actions juridiques sont en cours à Los Angeles contre Uber.

Les tribunaux espagnols, indiens et hollandais ont déclaré illégaux les services UberPop ou Uber. A l’inverse, la start-up californienne a trouvé des accords pour se développer sereinement dans le canton de Genève en Suisse ou au Japon.

La commissaire européenne chargée du Marché intérieur et de l’Industrie, Elzbieta Bienkowska, a annoncé qu’une réponse européenne était en train d’être étudiée :

« (Nous travaillons) de manière intensive pour présenter un projet de régulation du secteur cette année. (…) Dans le cas d’Uber, certains Etats de l’UE sont ouverts, d’autres se comportent de manière restrictive. Cela ne correspond pas au marché commun. Nous avons besoin de règles homogènes dans toute l’Europe. Une régulation appropriée devrait harmoniser les opportunités et les risques. »

Ma conclusion éditoriale : UberPOP vs Taxis !

Diversité des modes de transport, concurrence déloyale, définition de la relation employeur-employé : autant de questions qui sont posées, simultanément, aux responsables politiques de dizaines de pays de la planète. L’ « uberisation » du monde ne se fait pas sans heurts (cf. In English « to be ubered ».

Uber incarne le cauchemar d’un businessman, parce que, contrairement à Twitter, Google, ou Facebook, il ne créé pas un usage supplémentaire (il l’enrichit, c’est tout), mais Uber vient se substituer à un marché déjà existant. Mais surtout Uber vient en s’abstrayant des règles de fonctionnement de ce marché, dont les acteurs sont mis dans une quasi incapacité de réagir, ou se sur-réagir, le tout motivé par l’effet de la foule et la pression du groupe.

Et j’ajoute, enfin, qu’il y a aussi un improglio en terme de droit et de justice, en plus de tout ça. Le progrès technique/technologique va toujours plus vite que le progrès légale.

Ce qui a joute un élément nouveau et franco-français-américano-californien. C’est le buzz, qui entre dans la sphère du show business. Courtney Love est en panique. La chanteuse, ancienne compagne de Kurt Cobain, se trouve ce jeudi en France. Au mauvais endroit au mauvais moment si l’on en croit les tweets qu’elle a postés cet après-midi. En effet, elle semble avoir été prise à partie, (son véhicule et ses occupants), dans le conflit qui oppose les chauffeurs de taxi à Uberpop, en sortant de l’aéroport.

Courtney Love « invite » notre chef d’Etat actuel à réagir. Et là grosse pensée aux CRS qui doivent faire aussi leur travail.

Et sur Twitter, eh beh c’est la « fête » : La guerre entre taxis et Uber vue depuis Twitter (allez voir la revue de tweets en images)

Extraits :
Devant la violence de ce conflit, des twittos n’ont pas manqué de faire des analogies entre les affrontements qui se déroulent et des scènes de cinéma. A commencer par le film Mad Max : Fury Road (route en furie), dont le titre de circonstance a été une source d’inspiration.

Un autre internaute, lui, voit plutôt dans la grogne des taxis une référence au film de Martin Scorcese Gangs of Now York, dans lequel Daniel Day Lewis, alias Bill Le Boucher, et ses copains ne sont pas d’humeur à rigoler.

Pour un autre twittos, l’occasion est trop belle pour ne pas faire un clin d’oeil à la folie furieuse de Robert De Niro de Taxi Driver.

Invité surprise de ce conflit : la maison Disney s’est fendue d’un tweet invitant à s’inspirer de son film Cars, où « les voitures sont amies et vivent en parfaite harmonie ».

AP du 113 y va lui aussi de sa petite participation. Le rappeur livre d’abord son analyse comparative et sans appel des deux modes de transport. Il suggère ensuite de laisser au plus marseillais des chauffeurs de taxi, alias Samy Nacéri (Taxi), le soin de mettre un terme au conflit.

via La guerre entre taxis et Uber vue depuis Twitter

ironie de l’histoire : UberPOP vs Taxis !

Mais paradoxalement, la grève des taxis à entraîner une augmentation de la demande pour… Uber. Car les taxis font grève, s’en prennent plein la gueule, via les médias français et internationaux, les réseaux sociaux, les blogs. Et certains citoyens ont des actes violent et honteux sur d’autres citoyens.

Comme si ça suffisaient pas la France passe encore pour ce qu’elle ne devrait pas… « J’ai mal à ma France ». Mais on peut voir qu’au final, bah tout le monde est en tord : la Justice, les Etats, les Politiques, l’Entreprise Uber, les Taxis (certains, ne généralisons pas), et la Compagnie de Taxis G7, les Médias, et toutes les parties non cités là. En tous cas, on est face à un gros bazar sur plusieurs plans. Affaire(s) à suivre.

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Ewen LJ

Team Principal - Fondateur du concept-site superblog DESIGNMOTEUR. Web designer, entrepreneur, passionné par le web, la photographie entre autres et les voitures... depuis toujours soit depuis +25 ans. Depuis octobre 2012, J’écris quelques mots en tant que passionné de l’automobile, de la moto et des sports mécaniques, en axant mes sujets sur le design automobile, la motorisation du véhicule, la communication visuelle des constructeurs, le marketing de la marque, sur l'Économie de l'industrie automobile et sur d'autres thèmes tels que la Mode, l'Art, le Cinéma, le Jeu Vidéo et ses relations avec l'Automobile.

1 Commentaire

  1. S’ils pouvaient dans leur conflit éviter de prendre des villes en otage ça arrangerait les personnes qui veulent travailler…

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