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Retromobile 2016 au programme : designer Charbonneaux, collections de Julia, Photographe Lartigue


Il serait peut-être temps de publier un post sur Retromobile ! C’est du mercredi 3 au dimanche 7 février 2016, au Parc des expositions de la Porte de Versailles. Donc c’est très bientôt ! Donc voilà, comme il y quelques jours, j’ai publié un post annonçant le programme du Festival Automobile International 2016, dont l’Exposition Concept-Cars est ouverte ce weekend ! Et si j’évoque cet événement, c’est pour faire référence encore à la Lamborghini Miura de 1965, qui est ici la transition toute trouvé entre les véhicules actuels, et les automobiles anciennes. Sachez que sur DESIGNMOTEUR, ma passion ne fait pas la distinction entre ces 2 catégories, je suis passionné autant par l’un que par l’autre. Et pour DM, tout ce qui est avant 2012, c’est ce que j’appelle « notre héritage ». 2012 ? C’est l’année de création du site DESIGNMOTEUR. Quant aux nouveaux modèles récemment annoncés et présentés officiellement par les constructeurs, c’est présenté sur DM à la manière design & moteur et histoire & business. Donc souvent, il y a un lien fort entre ces 2 catégories de véhicules contemporains et véhicules anciens. Cependant, DM ne se considère pas comme un site spécialisé automobiles anciennes, mais comme un site spécialisé design & moteur et histoire & business des véhicules de notre héritage. Revenons à l’actualité et à l’objet de cet article : le programme de la 41ème édition de Retromobile.

vidéo – Rétromobile 2016 – Teaser


J-5 avant le salon Rétromobile ! Découvrez le teaser avec François Melcion, directeur du salon Rétromobile !

Retromobile 2016 – Programme

Véritable référence internationale avec plus de 500 véhicules anciens exposés sur 51 000 m2, 120 000 visiteurs venus du monde entier et de nombreuses animations exclusives, Retromobile transforme chaque année Paris en capitale de l’automobile de collection.

Inédit, extraordinaire, inattendu … Autant d’adjectifs pour décrire « l’expérience » Retromobile, qui donne à ses visiteurs l’opportunité de venir rêver, s’extasier et s’informer auprès des artistes, constructeurs, clubs, fédérations, vendeurs de pièces détachées et de miniatures, restaurateurs et marchands d’automobiles, réunis à Paris pour cette occasion.

Philippe Charbonneaux – Retromobile 2016

Concernant les thèmes d’exposition de cette année, Rétromobile va mettre en avant Philippe Charbonneaux, ce designer devenu constructeur, au travers d’une rétrospective sur la carrière longue de 60 ans.

Philippe Charbonneaux sest ’intéressé à tous les domaines que lui offre un monde moderne. Il dessine des autoroutes, des bâtiments, des engins de manutention, des bateaux, des appareils électroménager, des brosses à dents, des jouets, des réveils, des téléviseurs… Il dessine les Citroën présidentielles, de nombreux camions publicitaires dont l’extraordinaire camion « Pathé-Marconi ». Il dessinera également des carrosseries pour les plus importants constructeurs de poids lourds de l’époque comme Renault, Unic, Bernard, Willeme et surtout Berliet pour qui il réalisa de nombreux véhicules : autobus, pompier, service aéroport, camion pour l’armée.

Charbonneaux – Histoire de designer

Philippe Charbonneaux né à Paris le 18 février 1917 s’est fait connaître par ses dessins d’avions.

Très jeune, Philippe Charbonneaux consacrait ses loisirs à inventer et dessiner des autos et des avions alors que son professeur déclarait à sa mère « Qu’il fasse n’importe quoi, mais surtout pas du dessin ! ». Pendant ses vacances, et de sa propre initiative, il allait présenter ses croquis aux plus grands carrossiers de l’époque.

En 1946, il devient le styliste de la marque Delahaye. Après avoir étudié en 1948 avec Jean-Pierre Wimille une voiture de type GT à moteur central, il part aux États-Unis travailler quelques mois au centre de style de la firme General Motors afin de concevoir une voiture de sport qui sera… la Chevrolet Corvette ! À son retour, il s’installe à son compte à Paris et présente en 1951 la Delahaye 235 aux formes modernes « ponton ».

Il monte son bureau de style au 50 rue Copernic à Paris avec Pol Bracq et Michel Vioche, et dessine autoroutes, chariot élévateur, électroménager, jouets, lampes Wonder, ordinateur Bull, publicités sur le lieu de vente, réveils JAZ, téléviseurs dont TELEAVIA Panoramic 111, ventilateurs Etoile, poêle Pyrobal et bien d’autres choses.

Philippe Charbonneaux crée aussi des véhicules, les plus marquants comme la Citroën Traction Avant 15-Six du président René Coty, la Salmson 2300S Barquette, un coupé Citroën 2CV sport et de nombreux camions publicitaires pour les marques Astra, Pathé-Marconi, BIC, armée de l’air ou Formica destiné pour la caravane du Tour de France. En 1959, il présente un camion publicitaire pour Onduclair qui sera le premier du genre, à cabine avancée, suivi d’un car-régie pour la RTF, sur châssis Bernard qui va préfigurer les nouvelles productions.

Appelé par Renault pour modifier la R8, il y crée le bureau de style avant de réaliser la R16 dont le concept est particulièrement novateur.

En 1960, il est donc appelé par la Régie Renault, il va créer le service de style au Centre Technique de Rueil et c’est à ce moment qu’il dessinera les nouveaux modèles, la Renault 8 et la Renault 16. Il transforme ensuite une R16 en version tricorps comme la Renault 25 bien plus tard. Les deux voitures n’ont pas eu de suites industrielles.

Renault 8 - Camion Bernard - Charbonneaux - Photo Retromobile 2016

Renault 8 – Camion
Bernard – Charbonneaux – Photo Retromobile 2016

Du côté poids lourds, il réalise pour la firme Bernard en 1961 une nouvelle forme de cabine qui sera imitée par beaucoup, puis pour Berliet des véhicules de pompiers, le bus à étage de Paris, le gazelle de l’armée et le Stradair qui a tranché radicalement avec les autres productions.

Avec la revue l’Anthologie Automobile, il revient en 1970 dans l’histoire de la carrosserie automobile et crée un musée dédié à l’automobile française près de Saint-Dizier puis à Reims. (musee-automobile-reims-champagne.com)

De 1990 à 1998, il réalise des prototypes à roues en losange et les présente au mondial de l’Automobile et salon de Genève: les Ellipsis.

Philippe Charbonneaux ne prendra jamais sa retraite, il consacra ses dernières années à travailler sur la sécurité des automobiles et réalisa plusieurs prototypes de véhicules aérodynamiques dont les roues sont positionnées en losange.

Aujourd’hui, les créations de Philippe Charbonneaux sont conservées par le musée automobile de Reims-Champagne.

Avec cette extraordinaire rétrospective de 60 ans de carrière d’un homme hors du commun, Retromobile met en lumière un héritage riche en créations et en idées révolutionnaires. Il existe encore aujourd’hui beaucoup de réalisations de Philippe Charbonneaux. Cette exposition sera présentée par Hervé Charbonneaux, le fils de ce grand créateur.

MAJ 04/02/2016 :

vidéo – Rétromobile 2016 – Philippe Charbonneaux


Lors de Rétromobile, retrouvez l’exposition Philippe Charbonneaux, un designer des temps modernes !


Julia – Retromobile 2016

Retromobile, véritable institution pour les passionnés d’automobiles et de belles anciennes, met à l’honneur pour sa 41ème édition ces femmes qui partagent une passion universelle : l’automobile et ses classiques. Rétromobile 2016 va mettre en avant la collection de Julia, composée entre autres d’une Bugatti Type 40, d’une McLaren M3A de 1965, d’un coupé Frazer-Nash de 1955 qui a fait Le Mans en 1959, d’une Voisin C14 Chartre de 1930 gagnante de sa catégorie au Concours d’Élégance Peeble Beach 2011, Aston Martin Headlam Coupé de 1930, ainsi que d’une récente mais rare Volkswagen XL-1.

Aussi à l’aise sur son tabouret de piano que dans le siège baquet d’un des bolides qu’elle mène avec maestria, cette mélomane prend autant de plaisir à écouter une mélodie de Chopin que le vrombissement sourd d’un 8 cylindres ! Si elle n’a pas la prétention d’être un grand pilote, pour elle la victoire c’est « prendre le départ et être à l’arrivée », peu importe le classement.

L’odeur d’un parfum de grand couturier l’enchante autant que celle du méthanol ou de l’huile de ricin. Sa passion pour l’automobile remonte à sa plus tendre enfance et le choix éclectique qui guide sa collection est souvent le fruit du hasard et de rencontres. Elle se plait à dire que ce n’est pas elle qui choisit les automobiles mais que ce sont elles qui la choisissent. Pour preuve lorsqu’en 1999 elle acquiert la Bugatti 35B qu’aurait pu conduire à l’époque Elisabeth Juneck ou Tazio Nuvolari, elle réalise que tous trois sont nés un même jour de novembre.

Parmi les nombreuses voitures présentes dans sa collection, on retrouve pas moins de trois voitures de Femmes de l’Automobile :
– l’unique exemplaire de Bugatti type 40 Fiacre que Jean Bugatti fit construire en 1928 pour sa soeur Lydia Bugatti,
– la McLaren monoplace de la pilote britannique Patsy Burt
– Le coupe Frazer Nash de Kitty Maurice

vidéo – Rétromobile 2016 – Une femme, une collection


A Rétromobile, on retrouve Julia, femme pilote, qui nous présente ses automobiles !


Une exposition présentée à Rétromobile 2016 est consacrée à la passion de Jacques Henri Lartigue pour les automobiles de course.

Lartigue a promené son objectif au gré de ses envies, sur les théâtres les plus divers: de la Coupe Gordon-Bennett 1905 au Grand Prix de Monaco 1978 en passant par les Grands Prix de l’ACF de la grande époque, mais aussi la course de côte de Gaillon en 1912, l’inauguration de l’autodrome de Linas-Montlhery en 1924, les courses des « années folles » à Saint Sébastien, La Baule ou au Cap d’Antibes, les 500 miles d’Indianapolis en 1967… même les tournages à Monaco des films The Racers en 1954 et Grand Prix en 1966 avaient attiré sa curiosité toujours en éveil.

Lartigue a immortalisé, pour notre plus grand bonheur, les Lorraine-Dietrich, Darracq, F.I.A.T, Schneider, Delage, Peugeot et autres Bugatti ou Alfa Romeo, traduisant par son immense et unique talent cette « chic impression de vitesse ».

Lartigue – Histoire de phtographe automobile

Jacques Henri Lartigue appris La photographie au contact de son père dès 1900. Répondant à l’enthousiasme de son fils, Henri Lartigue lui offre son premier appareil photographique à l’âge de 8 ans, en 1902. Dès lors, il n’a de cesse de photographier sa vie d’enfant rythmée par les voyages en automobile, les vacances en famille et surtout par les inventions de son frère aîné.

Les deux frères sont passionnés par l’automobile, l’aviation et tous les sports alors en plein essor. Jacques les enregistre grâce à son appareil photographique. Il continuera adulte à fréquenter les manifestations sportives et à pratiquer lui-même quelques sports réservés à l’élite : ski, patinage, tennis, golf…

Cependant, pour cet enfant si soucieux de retenir le temps qui passe, la photographie est insuffisante. Comment, en effet, tout dire et tout retenir dans une image prise en quelques secondes ?

Parallèlement, sans doute aussi pour s’engager dans une activité reconnue, il commence à dessiner et à peindre. Jusqu’au début des années 30, il mène une vie luxueuse et mondaine. Mais la fortune des Lartigue s’étiole et Jacques est contraint de trouver d’autres sources de revenus. Se refusant à travailler par crainte de perdre sa liberté, il vit chichement de sa peinture durant les années trente et quarante.

Dès les années 50 et contrairement à la légende le prétendant inconnu de tous, Lartigue commence à exister comme photographe tout en continuant à peindre. En 1962, avec Florette, sa troisième épouse, Jacques embarque à bord d’un cargo à destination de Los Angeles. Petit détour par la Côte Est, ils rencontrent Charles Rado, de l’agence Rapho qui contacte John Szarkowski, alors jeune conservateur du département photographique du MoMA, New York City (Museum of Modern Art).

L’enthousiasme est général. En 1975, la première rétrospective de son œuvre a lieu au Musée des Arts Décoratifs, à Paris. Un an auparavant, Lartigue avait réalisé la photographie officielle du président de la République, Valéry Giscard d’Estaing.

En 1979, l’acte de donation est signé : Lartigue est le premier photographe français à faire don, de son vivant, de son œuvre à l’Etat français. Il charge l’Association des Amis de Jacques Henri Lartigue de conserver et de diffuser le fonds.

En 1980, l’exposition Bonjour Monsieur Lartigue au Grand Palais répond à la volonté de Lartigue de voir ouvrir son « musée ». Jusqu’à ses derniers jours, il poursuit son œuvre à travers la photographie, la peinture et l’écriture. Il s’éteint à Nice le 12 septembre 1986, à l’âge de 92 ans. Il laisse plus de 100 000 clichés, 7000 pages de journal, 1500 peintures.

Lartigue – Delage au grand prix de l’Automobile-Club de France de 1912

Automobile Delage. Circuit de Dieppe, Grand Prix de l'ACF, Le Tréport, 1912 Photo Lartigue - Droits d'auteur : Ministère de la Culture-France/AAJHL

Automobile Delage. Circuit de Dieppe, Grand Prix de l’ACF, Le Tréport, 1912 Photo Lartigue – Droits d’auteur : Ministère de la Culture-France/AAJHL

Comment penser aux photographies de Lartigue sans penser à « L’auto déformée » comme certains l’appellent familièrement ? Elle est le signe que cette image est devenue presque comme un « logo » de Lartigue. Elle condense, en effet, plusieurs des qualités inhérentes à la photographie de Lartigue : le mouvement, le dynamisme, la modernité et la beauté.

Très tôt, Jacques, initié par son père et son frère aîné Zissou, s’intéresse aux courses automobiles. En 1905, toute la famille se déplace en Auvergne pour assister à sa première course, la Coupe Gordon-Bennett. Dès lors, Jacques s’exerce à photographier les voitures en mouvement et dessine de nombreux modèles ou des photographies qu’il a prises dans la journée. Petit à petit, son œil s’aguerrit et avec l’évolution constante de la technique photographique, il obtient des images d’un réalisme surprenant pour l’époque.

En 1912, au Tréport, il écrit dans son journal comment il effectue ses prises de vue :

« La première automobile arrive là-bas ! Il y a d’abord une courbe, puis c’est la ligne droite… elle passe devant nous à toute vitesse, c’est formidable ! La seconde arrive. C’est Boillot sur Peugeot. Je la photographie en vitesse (180 à l’heure) en pivotant un peu sur moi-même pour la conserver dans mon viseur, pendant qu’elle passe. C’est la première fois que je fais ça ! Moi, je fais des photographies. Yves (le chauffeur) pointe sur la liste. Madame Folletête dit l’heure et Monsieur Folletête (son précepteur) annonce le numéro. Si bien que nous suivons la course dans tous ses détails. » - Lartigue

Pierre Darmendrail, dans Lartigue et les autos de course explique la spécificité de l’image :

« Non seulement Lartigue a utilisé pour sa photo une technique novatrice, mais il l’a également poussée à l’extrême en allant se placer tout au bord de la route, à très courte distance de la voiture qui passait parallèlement à lui à 140km/h ou davantage. Il est ainsi allé chercher la sensation de vitesse jusque dans son cœur même, se coulant dans le mouvement ultra-rapide de son sujet, d’où le dynamisme et la puissance de cette photo. »

Une question demeure : celle de la légende. Lartigue a collé l’image dans l’album 1912 en la titrant : Automobile Delage, Grand Prix de l’Automobile-Club de France, Le Tréport, 26 juin 1912. Or, d’après David E. Junker, il semble que le véhicule soit une Théophile Schneider qui concourait au Grand Prix de l’ACF 1913. Lartigue s’est-il trompé? Etait-ce intentionnel ? Aucune trace dans les écrits de Lartigue ne permet de lever le voile sur ce mystère.

Bonus sur le Web – étude photo auto
Je vous invite à lire cet article scientifique A quelle vitesse allait la voiture de Jacques-Henri Lartigue en 1912 ? via galerie-photo.com, dédié technique photographie et vitesse automobile.

Bonus sur le Web – des photos de Lartigue
==> obsessionphoto.com


vidéo – Rétromobile 2016 – Exposition Yountimers


Youngtimers a voulu mettre à l’honneur cette année à Rétromobile, des automobiles de l’année 1976, année de la première édition de Rétromobile !


Rétromobile – Trophée de la Passion 2015

A l’occasion de la cérémonie des Trophées de L’Automobile organisée le 18 juin 2015 par L’Automobile, Rétromobile s’est vu remettre le Trophée de la Passion.

Chaque année, journalistes et lecteurs de L’Automobile, magazine de référence depuis 1946, s’associent pour attribuer un Trophée par catégorie à un acteur du monde automobile s’étant distingué durant les douze mois précédents. 36èmes Trophées de L’Automobile 2015 : RETROMOBILE lauréat du « Trophée de la Passion » Ce Trophée de la Passion vient récompenser l’un des plus prestigieux rendez‐vous de passionnés de belles anciennes au monde. Fort d’une éditions 2015 particulièrement réussie, avec notamment une hausse de 25% du nombre de visiteurs par rapport à 2014, soit 119 000, Rétromobile entraine toujours plus de passionnés sur sa route.

« Nous avons débuté il y a 40 ans, avec une surface de 3 000 m², et en sommes aujourd’hui à 54 000 m², avec le même souci constant de faire rêver en ouvrant un grand livre qui montre à chaque fois des choses que l’on ne voit pas ailleurs. Rétromobile est aujourd’hui un événement qui fait venir à Paris des gens du monde entier ». - François Melcion, directeur du Salon Rétromobile


Bonus photos Rétromobile 2015

==> Photos officielles Rétromobile Paris via flickr.com


Source et images :
Rétromobile

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Ewen LJ

Team Principal - Fondateur du concept-site superblog DESIGNMOTEUR. Web designer, entrepreneur, passionné par le web, la photographie entre autres et les voitures... depuis toujours soit depuis +25 ans. Depuis octobre 2012, J’écris quelques mots en tant que passionné de l’automobile, de la moto et des sports mécaniques, en axant mes sujets sur le design automobile, la motorisation du véhicule, la communication visuelle des constructeurs, le marketing de la marque, sur l'Économie de l'industrie automobile et sur d'autres thèmes tels que la Mode, l'Art, le Cinéma, le Jeu Vidéo et ses relations avec l'Automobile.

1 Commentaire

  1. Dans le cas de la célèbre photo de Lartigue, aucun doute à avoir, il suffit d’aller rechercher les photos d’époque pour s’apercevoir qu’il s’agit bien de la Théophile Schneider de Croquet au GP de l’ACF 1913 à Amiens où Lartigue était aussi présent, et non la Dealge de Boillot à Dieppe 1912.
    Voir la photo de l’auto complète:
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b6926252p
    L’erreur de la légende, qui a la vie dure, peut simplement provenir d’un archivage tardif où l’auteur s’est emmêlé les pinceaux.

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